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YANN, diplômé DUT Chimie 2012 et Licence Pro MQM 2013
Après un Bac Scientifique option Physique-Chimie, j’ai fait un DUT Chimie avec un stage à l'Université Polytechnique de Bucarest en Roumanie.
J'ai opté pour un DUT Chimie à l'Université de Poitiers car il y a beaucoup d'avantages à étudier dans un IUT.
Premièrement, un DUT permet l'insertion professionnelle au bout de 2 ans mais aussi la poursuite d'étude à condition d'avoir des résultats conséquents. Deuxièmement, les élèves sont beaucoup plus encadrés qu'à la fac et les professeurs sont plus à votre écoute lorsque vous avez des questions. Ensuite, pour ceux qui auraient du mal avec des cours uniquement théoriques, cette
formation dispose de nombreux cours de Travaux Dirigés, qui sont généralement des séances
d'exercices. Enfin une partie qu'il ne faut pas négliger,le cadre y est agréable : il n'y a pas de compétition entre les élèves et ces derniers se connaissent généralement tous entre eux. Les associations étudiantes y sont très présentes et sont aussi là pour vous faire profitez de la ville de Poitiers.
Après le DUT, j’ai effectué une Licence Professionnelle « Mesure de la Qualité des Milieux » en alternance au Laboratoire Départemental d'Analyses et de Recherche de la Charente.
J'ai réalisé celle-ci en alternance pour bénéficier d'une expérience de dix mois dans un laboratoire plutôt qu'un stage de 4 mois par un cursus initial. Le bénéfice est simple : l'expérience professionnelle de dix mois m'a permis d'accumuler différentes compétences liées à l'activité du laboratoire : qualiticien, préleveur eau et surtout microbiologie. Ainsi, en plus des offres d'emplois de chimiste, je peux postuler pour des fonctions de microbiologiste. La qualité étant un domaine présent dans tous les laboratoires, j'explique à chaque entretien que je pourrais contribuer à la mise en place d'exigences normatives ou à l'entretien des documents Qualité.
Aujourd'hui, je travaille en région parisienne dans un laboratoire où j'effectue un travail varié qui me plaît : préparations d'échantillons et travaux sur chromato.
BENOIT, diplômé ingénieur ES2E (Electronique et Systèmes de l'Energie Electrique) 2013, en recherche d'emploi.
"A la suite de mon baccalauréat S je suis allé à l'IUT de Châtellerault pour avoir un DUT MP (Mesures Physiques). Cette formation est un bon choix pour ceux n'ayant pas encore d'idée sur leur futur parcours professionnel et voulant apprendre les sciences physiques en général (chimie, électricité, mécanique ...). La formation est découpée entre cours en tronc commun et TD/TP. Pour ma part, j'ai très apprécié cette organisation restant identique au lycée. J'ai trouvé cependant dommage que l'on n'ait qu'un stage durant les deux années de la formation, un stage plus court en 1ère année pourrait être intégré pour finaliser son projet professionnel en ayant une meilleure connaissance du monde de l'entreprise.
Après le DUT, j'avais le choix entre poursuivre en licence pro ou intégrer une école d'ingénieur. J'ai été accepté à Polytech Tours en ES2E et je ne le regrette pas. L'ambiance dans la promotion était très conviviale et l'entraide importante. Mon choix de l'option ES2E a été fortement inspiré par mon DUT MP qui m'a permis d'avoir un large aperçu des sciences de l'ingénieur. L'organisation est identique par rapport à mes deux précédentes formations (cours, TD et TP). Contrairement au DUT, nous avions un stage par année, soit trois stages au total. Le premier stage réalisé au Technicentre SNCF de Saint-Pierre-des-Corps m'a permis d'avoir comme pour le DUT MP une meilleur idée de l'organisation du entreprise. Mes stages suivants à Avidsen et STMicroelectronics m'ont particulièrement permis d'acquérir de nouvelles compétences. Le dernier stage de six mois donne la possibilité d'avoir une mission plus conséquente à accomplir; et ainsi d'avoir une vision plus précise des travaux à réaliser par un ingénieur et les responsabilités que cela impliquent.
Inscrit depuis octobre 2013 à l'ARDUT, l'animatrice emploi, Anne-Sophie me donne des conseils pour le CV et ma recherche d'emploi et des informations sur le monde du travail. De plus, l'association a pour la première fois organisé un forum emploi avec une vingtaine d'entreprises présentes. Je vous conseille vivement de rejoindre cette association qui privilégie l'entraide et la solidarité entre ses membres."
VALERIE, diplômé en Licence Professionnelle Valorisation des Energies Renouvelable et des Techniques Energétiques (VERTE) à l’IUT de Poitiers en 2012.
"J’ai fait du travail sans qualification et de l’intérim en énergie génie climatique depuis ma sortie de l’IUT. Actuellement, je suis à la recherche d’un emploi stable.
Après un baccalauréat en section Scientifique option science de l’ingénieur, je me suis orienté vers un BTS Domotique Régulation Automatique. Lors des deux ans de BTS, je me suis aperçu que cette forme d’enseignement technique (électricité, thermique du bâtiment, électronique, pilotage…) me correspondait et répondait à mes attentes professionnelles. Bien que les cours soient très enrichissants, j’ai voulu faire la licence verte à l’IUT de Poitiers pour être proche de la réalité professionnelle.
Lors de ma licence verte, les cours (électricité, thermique du bâtiment, électronique, pilotage, HQE, énergie verte, environnement…) étaient faits par des professeurs et des professionnels partenaires de la formation. Les professeurs ont, pour la plupart, une activité dans leur domaine d’expertise en parallèle des cours qu’ils dispensent et cela ajoute à la qualité de l’enseignement. Ils sont en phase avec la réalité professionnelle. Il n’y a pas de fossé entre la théorie et la réalité pratique : des visites d’entreprises sont régulièrement organisées. Les professeurs ont davantage une démarche d’échange et de partage de leurs connaissances que d’une transmission à l’unilatéral : on communique !
Depuis 2012, je suis membre de l’ARDUT. L'Animatrice Emploi, Anne-Sophie, m’aide pour mes recherches d’emploi : CV, Lettre de motivation, connaissance du monde du travail. C’est super intéressant, j’invite les étudiants à nous rejoindre et à partager des moments conviviaux avec nous. Vous pouvez grâce à l’ARDUT trouver un stage, un travail et bien plus encore."
GEOFFREY, diplômé en DUT GEII 2011 puis Licence Professionnelle CGSE 2012, travaille depuis la fin de ses études.
« Après un baccalauréat STI génie électrotechnique, j’ai voulu poursuivre mes études en me dirigeant vers un DUT génie électronique et informatique industrielle. En deuxième année, j’ai choisis l’option électrotechnique parmi les 4 options proposées par la formation.
Après quoi j’ai continué avec une Licence Professionnelle Conduite et Gestion des Systèmes Electrique (appelée dorénavant GE5) pour intégrer le monde du travail après 1 an de formation supplémentaire. Lors de cette année nous avons eu l’occasion de rencontrer plusieurs professionnels qui nous ont parlé de leur parcours et leur métier.
Ces deux formations m’ont permis d’effectuer deux stages dans le domaine de l’informatique, un de dix semaines en deuxième année de DUT et un de douze semaines en LP.
Après une première expérience professionnelle de quatorze mois en intérim en tant que technicien test chez Magneti Marelli à Châtellerault dans le domaine électronique, j’ai décidé d’orienter ma carrière vers l’informatique.
Depuis 2012, je suis membre de l’ARDUT et je me suis proposé pour la gestion du site internet de l’association. N’hésitez pas à nous rejoindre, à partager de bons moments avec les diplômés et anciens diplômés lors des réunions mensuelles du samedi matin autour d’un petit-déjeuner et à participer aux projets de l’ARDUT."
EMERIC, diplômé en DUT GTE 2009, a trouvé un emploi juste après l’IUT
« Après un BAC STI Génie Énergétique en 2006, j'ai voulu poursuivre dans ce domaine et je me suis tout naturellement orienté vers le DUT Génie Thermique et Energie de l'IUT de Poitiers. Au cours des trois années passées à l'IUT (j'ai redoublé ma 1ère année), j'ai reçu une formation pointue, des enseignements qui ont parfois été durs à appréhender mais dispensés par des professeurs toujours à l'écoute, le tout dans une ambiance détendue mais studieuse! Ces 3 années sont pour moi remplies de souvenirs aussi divers et variés : des rencontres intéressantes avec des professionnels, les réunions du conseil d'IUT (en tant que délégué des étudiants) qui m'ont appris énormément, la vie d'étudiante, les soirées, les lendemains de soirées (!), les veilles de partiels, le stress, des tas de choses simples mais parfois compliquées à gérer à 18 ans, les profs parfois mécontents de notre immaturité, de vrais moments inoubliables, des souvenirs impérissables.
Cette formation m'a également permis de trouver du travail rapidement et facilement, en effet, après avoir fait mon stage et travaillé comme intérimaire pour Axima Contracting pendant l'été suivant mon DUT GTE, j'ai décroché l'emploi de Technicien d'études / Responsable Projets chez BE Thermique et Conseils à Lusignan (86) que j'occupe depuis ma sortie de l'IUT en 2009.»
VINCENT, diplômé en DUT GEII 2011, poursuit en Licence Professionnelle CGSE
« Je suis un tout jeune diplômé de l'IUT car je suis issu de la promo 2011. Mon BEP Electronique puis mon bac STI Génie Électronique, m'ont logiquement amenés vers le DUT GEII. Ce qui m'a attiré avant tout dans cette formation, c'est le panel de matières assez vaste tant dans les disciplines techniques que dans les matières générales. Lors de la deuxième année, notre autonomie est testée par le biais d’un projet tuteuré réalisé tout au long de l'année et un stage en entreprise de 10 semaines. Cette période en entreprise permet pour la plupart d'entre nous de réaliser notre 1ère expérience professionnelle en rapport avec nos études et de monter un projet du début à la fin. Je suis actuellement en Licence Pro CGSE. J'avais depuis longtemps la volonté d'effectuer mes études en alternance pour pouvoir confronter l'aspect théorique en cours à l'aspect pratique en entreprise. Le
stage de DUT m'avait conforté dans cette idée. Je me suis donc mis à rechercher une entreprise susceptible de m’accueillir grâce notamment à l'aide de l'ARDUT. En parallèle, j'ai également contacté de nombreuses entreprises recherchant des profils de DUT à embaucher. Durant les 3 mois d'été, j'ai multiplié les demandes ainsi que les entretiens auprès de sociétés telles que SOREGIE, ITRON, EDF... Finalement, c'est la SNEE qui m’a recruté fin août pour effectuer cette Licence Pro en apprentissage. Cette société du bâtiment fait partie du groupe SAGEFI et compte 6 agences entre Paris et Limoges. Pour ma part, j'ai intégré le site de Tours en tant que dessinateur en bureau d'étude. A l'avenir j'espère évoluer rapidement vers une carrière de chargé d'affaire peut être plus axée vers l'industrie ou le tertiaire.
Ces deux formations à l'IUT sont très enrichissante tant techniquement que humainement. Toutefois la licence apporte beaucoup plus de réflexion personnelle et de remise en question. C'est une année décisive professionnellement parlant ! »
DEBORAH, diplômée en DUT Chimie 2009, poursuit ses études jusqu’au Doctorat
« Après mon bac S option Physique-Chimie obtenu en 2005, et un passage par la fac de pharmacie, je me suis réorientée en 2007 vers un cursus plus professionnalisant, le DUT Chimie de Poitiers. En seconde année, j’ai fait le choix de l’option « chimie organique» car je souhaitais rester au contact du médicament. Mon but était de m’impliquer dans la recherche médicamenteuse pour un jour travailler au contact de chercheurs et de pharmaciens. A partir de ce moment j’ai eu la certitude de vouloir continuer mes études jusqu’au Doctorat afin de créer de nouvelles molécules, et pourquoi pas un nouveau médicament ! J’ai obtenu mon DUT Chimie en juin 2009 et me suis inscrite en 3ème année de Licence de chimie. Je suis actuellement à l’Université de Poitiers en Master 2 (M2) « Biomolécules Catalyse et Environnement » (les catalyseurs sont utilisés dans la création d’un médicament), c’est une voie d’avenir et d’emploi. Mon stage de M2 de cinq mois a débuté en février 2012 au sein d’un laboratoire de Recherche de catalyse à Poitiers.
Je souhaite poursuivre en Doctorat dès la fin du stage.
La formation reçue à l’IUT, dont je garde un heureux souvenir, est très complète. Elle demande beaucoup de motivation et d’implication : se lever le samedi matin pour aller en partiels ou en cours nous impose un rythme soutenu différent de celui du baccalauréat ou de la faculté. Nous sortons du DUT avec de bonnes bases qui nous servent pour la suite des études comme pour notre futur travail. Le choix des options en deuxième année est une opportunité non négligeable, il permet de se préparer à son futur métier.
J’ai pu constater que le diplôme de DUT est reconnu. Nous avons la chance de pouvoir réaliser un stage professionnel de plus de deux mois dès la seconde année, c’est un premier pas dans la vie active. J’ai adoré l’ambiance à l’IUT d’ailleurs elle me manque à la Faculté. De plus, les professeurs y sont moins proches. Je m’y suis fait des amis, certains sont d’ailleurs en M2 avec moi. Les fêtes réalisées par l’association « Molécules and CO », le bal de fin d’année, sont pour moi de très bons souvenirs. »
GUILLAUME, titulaire du Diplôme Universitaire de Technologie promotion 2001, spécialité génie thermique et énergie.
"La formation de l’IUT de Poitiers est très complète. Elle permet de trouver des emplois dans divers milieu, le bâtiment avec les études de chauffage, ventilation et climatisation, mais aussi dans le milieu industriel.
Ma première expérience liée à mon diplôme, je l’ai décrochée dans les annonces de l’ARDUT, en travaillant pour entropie. Cette société fabrique des distillateurs d’eau de mer à compression thermodynamique de vapeur ; Ces machines dont nous n’avons pas besoin en France, servent à produire de l’eau potable à partir d’eau de mer, dans des pays tels que : Egypte, Emirats Arabes Unis, Qatar, Arabie Saoudite, Algérie… ou le coût de l’énergie est relativement faible, puisque ce sont des pays producteurs de pétrole ou de gaz.
J’ai commencé par définir les équipements de ces machines, établir les listes de pièces de rechange. Puis j’ai encadré les chantiers pour mener leurs réalisations jusqu’à leurs termes dans le respect des règles de l’art et des délais. Puis j’ai eu en charge de mettre en service les distillateurs et de les régler à leur optimum. Je n’ai jamais tant apprécié de travailler, j’étais confronté à l’aspect multiculturel des personnes qui travaillent sur les chantiers des pays sus cités, indiens, pakistanais, arabes…
Une expérience de voyage par le travail, ou de géopolitique, qui m’a fait rencontrer ma femme ; femme qui m’a donné une fille.. C’est pour vivre avec elles que j’ai du quitter mon poste, pour un autre emploi plus sédentaire.. Cet emploi je l’ai trouvé chez HYTEC Industrie, ou je suivais les affaires de stations d’épuration d’effluents industriels de traitement de surface des métaux. A partir du contrat, je dessinais sur autocad la station d’épuration, établissait les budgets à affecter poste par poste, suivait le planning, le bon déroulement du chantier et le respect des budgets. Aujourd’hui, ce secteur d’activité de niche est touché de plein fouet par la crise économique, je compte me réorienter vers la thermique du bâtiment."
JULIEN, diplômé GEII 2011
"Après avoir obtenu mon DUT GEII en juin 2011, et ayant un dossier plutôt correct, j’ai été admis à l’ENSIP (Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Poitiers), qui se trouve sur le campus, en face du restaurant universitaire Champlain. Je pensais que cette école était le bon choix pour moi, car à ce moment là mon projet professionnel était de devenir ingénieur en énergie (si possible renouvelable), et cette école propose un parcours énergie. Cependant, je me suis vite rendu compte que cette école n’était pas faite pour moi, et que le monde « scolaire » dans sa globalité ne m’attirait plus. Il faut savoir (et je ne le savais pas), qu’un DUT dans une école comme l’ENSIP est vu au même titre qu’un élève sortit de classe prépa qui a donc un niveau nettement supérieur que nous en Math, Physique, et d’autres matières comme la Thermophysique, la Thermochimie, la Mécanique, ou la Résistances des matériaux. Pour être concret, en amphi un professeur va dire : « Enfin ça vous l’avez déjà vu », alors que vous, vous n’avez même pas une notion dans cette matière. C’est donc déjà très dur de rattraper le niveau, mais en plus ils vont encore plus loin dans les matières. Mais je pense qu’une personne, qui est bien prévenue de comment ça se passe dans l’école qu’il va intégrer, et qui est sûr de vouloir faire encore 3 ans d’études très techniques après son DUT peut y arriver. Pour vous donner un chiffre, on devait être 10% peut-être de DUT sur toute la promo, comparé à des écoles comme les Polytech où on m’a dit que certaines promos sont à plus de 50% de DUT. Je ne jette pas la pierre à l’école que j’ai intégré, mais il faut être sûr de son choix, et ne pas se sentir attiré par le monde du travail entre temps comme ça a été le cas pour moi. Je me suis laissé le 1er semestre pour voir comment cela aller se passer, bien que je ne me sente pas vraiment à ma place. Et au mois de février, j’ai décidé de démissionner car de tout de façon je n’aurais pas validé mon année, et que je ne comptais pas retenter une 1ère année, donc autant gagner du temps, et me lancer sur le marché de l’emploi.
C’est à ce moment là que je me suis inscrit à l’ARDUT, qui m’a grandement aidé (inscriptions en agences d’intérim, conseils pour les lettres de motivation, annonce de forum sur l’emploi etc.), c’est vraiment très pratique, et on se sent moins seul dans ses démarches.
Actuellement, je recherche un emploi dans le domaine du Génie Electrique, qui est vraiment la partie qui me plaisait à l’IUT, comparé à l’informatique et à l’automatisme. Les difficultés que je rencontre actuellement sont le fait que le marché est plutôt au ralenti en ce moment, rares sont les offres que les agences me proposent, et ma faible expérience n’est pas là pour arranger ça … J’ai aussi envoyé beaucoup de candidatures spontanées aux entreprises de Poitiers et Châtellerault, qui restent souvent sans réponse. C’est assez démoralisant, mais je n’abandonne pas. La façon la plus simple d’après moi pour trouver un emploi c’est d’être directement embauché après son stage dans l’entreprise dans laquelle on l’a effectué. Il faut donc bien choisir où faire son stage, même si je sais que trouver un stage n’est pas une chose facile, car ce choix peut être déterminant dans un CV. Moi, par exemple, j’ai fait le choix d’un stage dans un laboratoire étant donné qu’à ce moment là je comptais aller en école d’ingénieurs, mais maintenant que je cherche un emploi, je n’ai aucune expérience dans l’industrie et c’est possible que cela m’handicape."
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